Clément – 29 ans – à l’école depuis l’âge de 17 ans

J’ai d’abord commencé la batterie au conservatoire. C’est mon père, élève d’Alain à l’époque, qui m’a orienté vers lui. À 17 ans je me suis donc inscrit à l’école de batterie « Les trois notes ». Le conservatoire ne disposait alors que d’un cursus mélangeant percussions « traditionnelles » et « vraie » batterie. Je jouais finalement très peu puisque je partageais quarante minutes par semaine avec 2 autres élèves (pour le même cours et avec le même prof). J’y suis resté un an et au final je n’ai rien appris !

Avec Alain la différence a été tout de suite radicale, ça n’a rien à voir au niveau organisation. Il est plus carré, plus attentif. Tu sais exactement où tu en es, et il te fait suivre un programme bien défini : le cours est structuré, sans pour autant être figé. Alain prend le temps de t’expliquer, de t’expliquer encore, dix fois s’il le faut, et à chaque fois d’une manière différente. Il avance avec l’élève, pour l’élève, et surtout à la vitesse de l’élève. Il s’adapte sans cesse, affinant toujours sa précision dans la pédagogie. Il sait transmettre son savoir. Que tu sois débutant ou confirmé, il te fera toujours gagner du temps, il te fera toujours progresser. Finalement il est à la fois très bon batteur et excellent pédagogue, ce n’est pas pour rien qu’on le retrouve auteur d’une méthode de caisse claire par exemple.

L’école de batterie « Les trois notes » est pour moi le lieu idéal pour commencer la batterie, je dirais que si tu veux avoir de bonnes bases pour la batterie c’est chez Alain Bémer qu’il faut aller. Il te propose une formation solide et une approche théorique et technique de la batterie. En fait il te donne les clés. Par contre il ne te tiendra pas la main pour bosser chez toi (d’ailleurs j’en chie grave en ce moment ) ou pour jouer dans un groupe. Et c’est ça qui est bien aussi.

Depuis plus de dix ans que je connais Alain j’ai dû à plusieurs reprises mettre ente parenthèse les cours de batterie pour me consacrer plus de temps à d’autres projets (musicaux et professionnel). Au final je suis toujours revenu au bercail. Parce que c’est le meilleur prof que je connaisse, que le niveau est bon, et qu’aux exams ça passe.